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Touche pas à ma pote, cyberharcèlement, harcèlement de rue, c'est bon là, assez.

La photographie fait désormais partie de la vie quotidienne et ça, nous en avons tous conscience. Mais la voilà tellement incorporée aux habitudes qu'on ne l'observe plus, à force de la voir, elle continue pourtant à s’inviter à tous nos événements, privés ou publics, leur apportant cette valeur documentaire qui nous la fait percevoir comme étant la plus fidèle représentation de notre vie sociale.

En fait, la photographie, qui peut être instrument de connaissance, œuvre d'art ou instrument de communication. N’est pas seulement l'histoire d'une technique, elle reflète aussi notre histoire sociale, politique.


Chez Women we share, nous avons pris au travers de ce médium, le parti de la rencontre.

Rencontre lors de nos ateliers, rencontre lors de la réalisation de portraits, rencontre lors de nos balades photographiques.

Avec ce travail, nous choisissons d’explorer le féminisme, au travers de 30 portraits de femmes et 5 portraits de collectifs de femmes féministes.

Des parcours, des idées, de la création, de la co-création, qui tendent vers l'égalité, la sororité et la réalisation du soi.


Des femmes qui abordent des thèmes variés de diversités, d’inclusion, de réalisation, de domination au travers du sport, des médias, de l'art, de l'architecture... avec comme lien commun une remise en question de nos sociétés.


En effet que serions-nous sans la remise en question ?


Assises, toujours au même endroit à tout accepter, tout admettre, tout suivre… à simplement hocher la tête dans un néant infini de oui?

Aurions nous eu connaissance de ces 73% de femmes et de jeunes filles confrontées à des violences en ligne?

Aurions-nous, dès lors, pu ouvrir la porte des réflexions?

Aujourd’hui nous vous partageons le portrait studio de Victoria De Buck.


Victoria De Buck est coordinatrice de l’association “TOUCHE PAS A MA POTE”, une a.s.b.l qui, au travers de ses campagnes contre le harcèlement de rue et le sexisme au quotidien, sensibilise et offre l’opportunité de réfléchir en partageant un problème de société touchant essentiellement les femmes: le sexisme.


Campagnes de sensibilisation, animations pour les jeunes, formations à destination des policiers visant à contrer le harcèlement de rue; l’asbl est sur tous les fronts. Elle tend à offrir un monde où finalement, les femmes ne devraient plus avoir à développer des stratagèmes pour se sentir tranquilles dans la rue.

Pour mieux percevoir ce dont on te parle pourquoi ne pas regarder le documentaire “sale pute” de Florence Hainaut et Myriam Leroy, diffusé ce 12 mai sur la une.

Ou plus anciennement femmes de la rue de Sofie Peeters.


On te laisse là et on te salue.



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